Scandale au 36
On n’a pas fini d’entendre parler de l’affaire qui s’est déroulée samedi soir au 36 quai des troubadours, siège de la police croix-roussienne. En effet, voulant célébrer le départ à la retraite du commissaire Didier Burgot, certains policiers ont fait la fête toute la nuit, abusant de l’alcool.
Cela s’est traduit par un comportement intolérable pour des membres des forces de l’ordre : certains hommes de la brigade, complètement éméchés, se sont mis à tagger le mur du siège de la police puis à sauter sur les voitures stationnées sur le quai en chantant de vieux tubes français des années 70 dont « Da dou ron ron » de Johnny Hallyday ou « L’âne, le bœuf et le petit mouton » de Sheila.
Ainsi on a pu voir écrit sur le mur les inscriptions « Bon vent Dédé » ou encore « Dédé il est pas aller à l’école mais c’est pas un guignol ». Une fois, que le commissaire et ses hommes se soient rendus compte du vacarme qu’avaient fait ces « forces du trouble », il était déjà trop tard tout le quartier ayant été réveillé et ayant assisté à ce triste spectacle.
Les fauteurs de troubles ont alors été emmenés de force à l’intérieur des locaux de la police où ils on dû passer un mauvais moment, puis le calme est alors revenu quai des troubadours.
Ce matin, la presse s’est déchaînée contre cet écart de la part des policiers. Le quotidien « Le beignet » affichant en première page le titre étincelant « Quelle honte ! ».
Le maire dans un communiqué a tenu à préciser que « ces hommes, indignes de la République française, seront sévèrement sanctionnés » alors que Mme Colombani a clamé son désarroi devant ces hommes « indignes et irresponsables ».
Côté spectateur, Roger Balot, un expérimenté croix-roussien, s’est exprimé au micro du Kit : " 30 ans que je vis dans cet immeuble j’ai jamais vu ça. Je me suis réveillé au milieu de la nuit j’ai ouvert mes volets et j’ai vu cette bande de charlots en train d’hurler et de chanter, si c’est pas déplorable ! "
Espérons que cet incident ne se reproduira pas au siège de la police alors que l’on annonce un profond remaniement des effectifs.
Clifford
Roger Balot, encore en état de choc apres qu'une de ses vitres ait été brisé par un Richard McDonald méconnaissable...
photo/Derwich Turner
Cela s’est traduit par un comportement intolérable pour des membres des forces de l’ordre : certains hommes de la brigade, complètement éméchés, se sont mis à tagger le mur du siège de la police puis à sauter sur les voitures stationnées sur le quai en chantant de vieux tubes français des années 70 dont « Da dou ron ron » de Johnny Hallyday ou « L’âne, le bœuf et le petit mouton » de Sheila.
Ainsi on a pu voir écrit sur le mur les inscriptions « Bon vent Dédé » ou encore « Dédé il est pas aller à l’école mais c’est pas un guignol ». Une fois, que le commissaire et ses hommes se soient rendus compte du vacarme qu’avaient fait ces « forces du trouble », il était déjà trop tard tout le quartier ayant été réveillé et ayant assisté à ce triste spectacle.
Les fauteurs de troubles ont alors été emmenés de force à l’intérieur des locaux de la police où ils on dû passer un mauvais moment, puis le calme est alors revenu quai des troubadours.
Ce matin, la presse s’est déchaînée contre cet écart de la part des policiers. Le quotidien « Le beignet » affichant en première page le titre étincelant « Quelle honte ! ».
Le maire dans un communiqué a tenu à préciser que « ces hommes, indignes de la République française, seront sévèrement sanctionnés » alors que Mme Colombani a clamé son désarroi devant ces hommes « indignes et irresponsables ».
Côté spectateur, Roger Balot, un expérimenté croix-roussien, s’est exprimé au micro du Kit : " 30 ans que je vis dans cet immeuble j’ai jamais vu ça. Je me suis réveillé au milieu de la nuit j’ai ouvert mes volets et j’ai vu cette bande de charlots en train d’hurler et de chanter, si c’est pas déplorable ! "
Espérons que cet incident ne se reproduira pas au siège de la police alors que l’on annonce un profond remaniement des effectifs.
Clifford
Roger Balot, encore en état de choc apres qu'une de ses vitres ait été brisé par un Richard McDonald méconnaissable...
photo/Derwich Turner
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